Encore cette année, la Ville de Québec fait appel aux citoyens en cette saison des nids de poules. Vous pouvez signaler l'emplacement de nids de poules via le site Web de la Ville à l'adresse: http://www.ville.quebec.qc.ca/cgi-bin/nids_de_poule/nids.cgi
Comme je l'ai déjà mentionné, j'ai testé (anonymement) et ça fonctionne et ce, dans un délai très rapide. On critique beaucoup la ville (à commencer par votre humble serviteur), mais quand elle fait des bons coups, ça vaut la peine de le signaler! Alors citoyens, prenez des notes et signalez les nids de poules près de chez vous!
jeudi, février 28, 2008
mercredi, février 27, 2008
Ouverture du Métro Plus Supermarché Ferland
Voici le communiqué que j'ai émis à la suite de l'ouverture du Métro Plus Supermarché Ferland:
Québec, le 25 février 2008 – Le conseiller municipal du district de Duberger, M. Patrick Huot, a participé le mercredi 20 février dernier, à l’ouverture officielle du nouveau Métro Plus Supermarché Ferland, qui sied sur la rue Marais, en bordure de l’autoroute Robert-Bourassa.
« Quelle bonne nouvelle pour l’ensemble des gens de mon quartiers! De plus en plus de familles viennent s’installer dans ce secteur en plein essor. En ce sens, je ne peux que me réjouir de voir que les citoyens aient enfin accès à un supermarché près de leur résidence », a souligné le conseiller du district de Duberger, M. Huot.
Lors de la dernière campagne électorale, M. Huot s’était engagé à accroître les services de proximité afin que les citoyens de Duberger soient mieux desservis. « Pour créer des quartiers dynamiques, il faut rapprocher les services de la population. C’est aussi de cette façon que l’on s’assure de pouvoir attirer de nouveaux résidants », a précisé M. Patrick Huot.
Le conseiller a de plus ajouté : « La venue de nouveaux commerces assure l’injection d’argent neuf dans le quartier en plus de donner accès à des emplois attrayants. Le seul exemple de l’épicerie Métro Plus est éloquent : près de 10 millions de dollars ont été investis pour la construction du supermarché et une centaine d’emplois seront de plus créés. De quoi se réjouir! ».
En terminant, le conseiller a tenu à souligner l’ensemble des démarches entreprises par les gestionnaires de Métro Plus afin d’assurer la meilleure intégration possible du supermarché dans le quartier. En effet, une butte écran a été aménagée et plusieurs arbres ont été plantés par Métro avant même le début des travaux de construction afin de réduire au maximum les bruits pour les résidants voisins du commerce et dans le but d’améliorer l’aspect visuel du secteur.
Site Web de la ville (bis)
Au conseil de ville du 18 février dernier, je prévoyais intervenir à propos du site Web de la ville. Trop de sujets ont été abordés et mon tour est venu à 22h30 alors j'ai choisi de reporter mon intervention. L'essentiel de mon propos, tel que mentionné dans un billet précédant, c'est que le site Web de la ville est horrible et que c'est un fouillis total. Il ne dégage pas l'image moderne que veut donner le maire à Québec. Depuis mon entrée en fonction fin 2005 que je me fais dire que les TIT et le Service des communications travaillent à la version 2.0 du site. Plus de deux ans et rien encore...
Pendant ce temps, le service des TIT a développé, entre autres, des intranets sectoriels pour les arrondissements, d'autres pour les différents services, un portail de l'employé pour le service des ressources humaines qui permet aux employés de consulter l'ensemble des données de leur dossier personnel, postuler en ligne à des emplois et s'inscrire à des formations. Des serveurs ont été modifiés, la connexion Internet améliorée, le tout pour les employés de la ville.
Est-ce qu'on a oublié la mission première de la ville: offrir des services aux citoyens? Peut-on moins travailler pour "la machine" et offrir un meilleur site Web aux citoyens et aux commerçants de la ville avec des services de paiements en ligne, des données à jour et des renseignements mieux organisés, le tout dans un site Web du XXIe siècle?
Pendant ce temps, le service des TIT a développé, entre autres, des intranets sectoriels pour les arrondissements, d'autres pour les différents services, un portail de l'employé pour le service des ressources humaines qui permet aux employés de consulter l'ensemble des données de leur dossier personnel, postuler en ligne à des emplois et s'inscrire à des formations. Des serveurs ont été modifiés, la connexion Internet améliorée, le tout pour les employés de la ville.
Est-ce qu'on a oublié la mission première de la ville: offrir des services aux citoyens? Peut-on moins travailler pour "la machine" et offrir un meilleur site Web aux citoyens et aux commerçants de la ville avec des services de paiements en ligne, des données à jour et des renseignements mieux organisés, le tout dans un site Web du XXIe siècle?
Les élus et l'Administration...
Voici un bon exemple de la façon dont sont traités les élus de la Ville de Québec par l'Administration. Nous sommes plusieurs conseillers à nous plaindre du fait qu'on nous interdit de parler aux fonctionnaires de la ville et que tout doive passer par le directeur de l'arrondissement ou le directeur général. Une façon, en quelque sorte de censurer l'information aux élus. La toute dernière: l'Arrondissement Les Rivières a, depuis quelques mois, un intranet sectoriel pour les employés de l'arrondissement. J'ai demandé d'y avoir accès parce que je me demande bien ce qu'on y retrouve et je me demande quel type de programmation a été utilisée pour sa réalisation. Voici la réponse transmise à la secrétaire d'arrondissement en réponse à ma demande (je vais taire le nom de la personne qui a répondu cela parce que j'aime bien cette personne):
C'est le boutte de la m... À ma connaissance, mon bureau est situé à l'Arrondissement Les Rivières; j'ai une ligne téléphonique à l'Arrondissement Les Rivières; je suis conseiller municipal de Duberger qui est situé dans l'Arrondissement Les Rivières; je siège au Conseil d'Arrondissement à l'Arrondissement Les Rivières; je suis imputable auprès de la population de l'Arrondissement Les Rivières des décisions prises par l'Arrondissement Les Rivières; etc., etc., etc...
Quoi après, on va nous interdire d'avoir accès à certains documents parce qu'ils sont confidentiels! Ce sont les élus qui sont imputables, est-ce qu'on peut avoir accès aux renseignements dont on a besoin pour faire notre travail?
Comme suite à la demande de M. Patrick Huot d'avoir accès au site Intranet de l'Arrondissement, je t'informe que ce site est réservé au personnel de l'Arrondissement.
C'est le boutte de la m... À ma connaissance, mon bureau est situé à l'Arrondissement Les Rivières; j'ai une ligne téléphonique à l'Arrondissement Les Rivières; je suis conseiller municipal de Duberger qui est situé dans l'Arrondissement Les Rivières; je siège au Conseil d'Arrondissement à l'Arrondissement Les Rivières; je suis imputable auprès de la population de l'Arrondissement Les Rivières des décisions prises par l'Arrondissement Les Rivières; etc., etc., etc...
Quoi après, on va nous interdire d'avoir accès à certains documents parce qu'ils sont confidentiels! Ce sont les élus qui sont imputables, est-ce qu'on peut avoir accès aux renseignements dont on a besoin pour faire notre travail?
mardi, février 26, 2008
Québec: ville de développement durable par excellence au Canada
La ville de Québec obtient à nouveau le titre de celle qui se préoccupe le plus de développement durable partout au Canada. Pour une deuxième année consécutive, Québec obtient le titre de «Most sustainable city» dans la catégorie des agglomérations de taille moyenne devant Vancouver et Halifax, selon le second palmarès annuel publié dans le numéro Investissement 2008 du magazine Corporate Knights qui peut être consulté en cliquant ici. Pour consulter la nouvelle: cliquez ici.
Message d'un résident de Duberger
Voici un message reçu d'un résident de Duberger concernant l'aménagement des rues Careau etn Marais:
Patrick,
En tant que résident du « Vieux Duberger » et je me rends régulièrement vers les commerces accessibles via la rue Marais. Je me déplace autant en voiture, qu’à pied ou à vélo en été. Il en va de même pour mes parents et ma sœur qui sont aussi des résidents de Duberger. Tu as sans doute remarqué comme moi que les récents développements liés au nouveau Duberger (Domaine de la Capitale) ont amené une croissance de la circulation sur les rues Carreau et Marais. Je constate aussi que les voitures circulent rapidement sur la rue Marais et que les accotements n’offrent pas une zone sécuritaire pour les cyclistes et piétons.
Je suis en faveur d’un développement résidentiel et commercial à Duberger mais je tiens à ce que les aménagements du quartier soient favorables à la santé et à la sécurité des personnes. La Ville a-t-elle prévue des aménagements en ce sens?
Rémy Gauthier
Résident de Duberger
Rue Robitaille
Patrick,
En tant que résident du « Vieux Duberger » et je me rends régulièrement vers les commerces accessibles via la rue Marais. Je me déplace autant en voiture, qu’à pied ou à vélo en été. Il en va de même pour mes parents et ma sœur qui sont aussi des résidents de Duberger. Tu as sans doute remarqué comme moi que les récents développements liés au nouveau Duberger (Domaine de la Capitale) ont amené une croissance de la circulation sur les rues Carreau et Marais. Je constate aussi que les voitures circulent rapidement sur la rue Marais et que les accotements n’offrent pas une zone sécuritaire pour les cyclistes et piétons.
Je suis en faveur d’un développement résidentiel et commercial à Duberger mais je tiens à ce que les aménagements du quartier soient favorables à la santé et à la sécurité des personnes. La Ville a-t-elle prévue des aménagements en ce sens?
Rémy Gauthier
Résident de Duberger
Rue Robitaille
En réponse à monsieur Gauthier, nous prévoyons plusieurs aménagement dans le secteur. Des travaux sont prévus dès ce printemps afin d'aménager une bande cyclable protégée sur la rue Careau, entre le boulevard Central et le viaduc au-dessus de l'autoroute. Par la suite, la bande cyclable se prolongera jusqu'à Marais et la rue Marais sera complètement réaménagée. Des feux de circulation seront également installés aux coins Marais et de la Roselière.
Si vous avez des commentaires ou des suggestions, je suis ouvert à en discuter...
jeudi, février 21, 2008
Le contrôle des dépenses à la ville et le plan Labeaume
Au conseil du 18 février dernier, le maire Labeaume a présenté son plan de match pour la réorganisation de la ville de Québec. Un plan ambitieux avec 24 grands chantiers. Je pense qu'on est obligé d'être d'accord avec les objectifs visés par ce plan, mais ce que j'ai essayé de faire ressortir au conseil et en entrevue au 93,3, c'est qu'il faut aussi s'attaquer aux dépenses de l'administration.
J'ai illustré mon propos à l'aide d'un exemple, qui je crois est fort éloquent. J'ai remarqué que, pour les mois de novembre et décembre 2007, les différents gestionnaires de la ville avaient autorisé près de 40 000$ seulement en frais de taxi, via les coupons de Taxi-Coop. Calcul relativement simple, si deux mois = 40 000$, on en déduit que sur une année, on arrive à quelque chose comme 200 000$ ou 250 000$. On peut ajouter les dépenses de taxi des différents arrondissement estimées à 10 000$ par année par arrondissement (j'ai les chiffres de l'arrondissement Les Rivières et j'arrive à 9500$) X 8 arrondissements, ça nous donne quelque chose qui se situe entre 50 000$ et 100 000$ pour les arrondissements.
Mon propos n'est pas de dire que ces dépenses sont exagérées. Le problème, c'est que personne n'est en mesure de me dire si c'est normal pour une organisation comme la ville ou si c'est abusif. Ça veut donc dire que personne ne s'est posé la question à savoir combien tous les services de la ville dépensent pour les transports par taxi. On sait combien chaque gestionnaire autorise de dépenses à chaque mois, mais personne ne se demande combien la ville dépense dans l'ensemble. Ça vaut pour tous les types de dépenses (locations de voitures, frais de repas, achats de pièces, etc.)Est-ce que quelqu'un dans l'administration a analysé les dépenses dans leur ensemble?
Dans une administration publique, chaque gestionnaire peut autoriser des dépenses dont le montant varie selon la hiérarchie du gestionnaire. On retrouve ces détails dans le plan de délégation de l'organisation. Est-on trop permissif à la ville? Je n'en sais rien. Une à une, les dépenses sont peut-être tout à fait justifiées, mais est-ce qu'on les a déjà regardées dans leur ensemble? Je crois que je suis en plein droit de soulever ces questions et qu'on devrait analyser les dépenses de l'administration de la ville.
Est-ce qu'on peut ajouter un chantier Analyse des dépenses de l'administration dans le plan de travail de réorganisation de la ville?
J'ai illustré mon propos à l'aide d'un exemple, qui je crois est fort éloquent. J'ai remarqué que, pour les mois de novembre et décembre 2007, les différents gestionnaires de la ville avaient autorisé près de 40 000$ seulement en frais de taxi, via les coupons de Taxi-Coop. Calcul relativement simple, si deux mois = 40 000$, on en déduit que sur une année, on arrive à quelque chose comme 200 000$ ou 250 000$. On peut ajouter les dépenses de taxi des différents arrondissement estimées à 10 000$ par année par arrondissement (j'ai les chiffres de l'arrondissement Les Rivières et j'arrive à 9500$) X 8 arrondissements, ça nous donne quelque chose qui se situe entre 50 000$ et 100 000$ pour les arrondissements.
Mon propos n'est pas de dire que ces dépenses sont exagérées. Le problème, c'est que personne n'est en mesure de me dire si c'est normal pour une organisation comme la ville ou si c'est abusif. Ça veut donc dire que personne ne s'est posé la question à savoir combien tous les services de la ville dépensent pour les transports par taxi. On sait combien chaque gestionnaire autorise de dépenses à chaque mois, mais personne ne se demande combien la ville dépense dans l'ensemble. Ça vaut pour tous les types de dépenses (locations de voitures, frais de repas, achats de pièces, etc.)Est-ce que quelqu'un dans l'administration a analysé les dépenses dans leur ensemble?
Dans une administration publique, chaque gestionnaire peut autoriser des dépenses dont le montant varie selon la hiérarchie du gestionnaire. On retrouve ces détails dans le plan de délégation de l'organisation. Est-on trop permissif à la ville? Je n'en sais rien. Une à une, les dépenses sont peut-être tout à fait justifiées, mais est-ce qu'on les a déjà regardées dans leur ensemble? Je crois que je suis en plein droit de soulever ces questions et qu'on devrait analyser les dépenses de l'administration de la ville.
Est-ce qu'on peut ajouter un chantier Analyse des dépenses de l'administration dans le plan de travail de réorganisation de la ville?
vendredi, février 15, 2008
Conseil de ville du 18 février
Ce ne sont pas les sujets de discussion qui manquent pour le conseil de lundi prochain. On peut s'attendre à des échanges sur:
- le déneigement;
- le compte de taxes;
- la diminution du nombre de conseillers municipaux;
- la réorganisation de la ville;
- le carnaval;
- le 400e;
- etc.
Mon sujet, en plus du déneigement: les TIT et le site Web de la ville. Ça fait deux ans qu'on nous promet un nouveau site Web et il ne passe rien. À mon avis, le site actuel est horrible et c'est un fouillis total. N'oublions pas que le site Web d'une ville, c'est son image. Le nouveau maire veut donner l'image d'une ville moderne, une ville du XXIe siècle. Actuellement, des villes comme Plessisville et Saint-Gédéon de Grandmont ont une image (site Web) plus moderne que Québec!
jeudi, février 14, 2008
Politique de déneigement de la ville
C'est le deuxième hiver que la politique de déneigement de la ville est en vigueur. Il avait été convenu, qu'après un an, la politique serait évaluée pour mesurer les impacts de son implantation à la grandeur de la ville. On nous a présenté au début 2007 une évalutation qui n'a pas satisfait le conseil de ville. On nous a dit qu'il n'y avait pas eu plus de plaintes qu'à l'habitude et que la politique était adéquate et qu'elle demeurerait inchangée.
Un des problèmes, c'est que la personne qui a écrit la politique et qui était responsable de son implantation est celui qui a fait son évaluation. C'est comme si je vous disais je vous engage pour un an; écrivez votre descrition de tache; travaillez un an selon cette description de tâche; après un an, faites votre auto-évaluation pour savoir si vous êtes bon et pour savoir si je vous garde. Pensez-vous que vous allez dire que vous n'êtes pas un bon employé et que je devrais vous mettre dehors?
Je conteste donc l'évaluation qui a été faite de la politique. De plus, l'hiver dernier a été relativement tranquille et c'est cette année que la politique est vraiment mise à l'épreuve. Les contremaitres et les opérateurs de machinerie nous disent d'ailleurs que cette politique est déconnectée de la réalité et qu'elle a été faite par des gens dans des bureaux. Les délais ne fonctionnent pas, les zones prioritaires ne sont pas respectés, les bornes fontaines ne sont pas déneigées assez rapidement et j'en passe.
Je réclame une évaluation indépendante de cette politique et une évaluation de son application dans les différents arrondissement en plus des ajustements qui s'imposent.
Un des problèmes, c'est que la personne qui a écrit la politique et qui était responsable de son implantation est celui qui a fait son évaluation. C'est comme si je vous disais je vous engage pour un an; écrivez votre descrition de tache; travaillez un an selon cette description de tâche; après un an, faites votre auto-évaluation pour savoir si vous êtes bon et pour savoir si je vous garde. Pensez-vous que vous allez dire que vous n'êtes pas un bon employé et que je devrais vous mettre dehors?
Je conteste donc l'évaluation qui a été faite de la politique. De plus, l'hiver dernier a été relativement tranquille et c'est cette année que la politique est vraiment mise à l'épreuve. Les contremaitres et les opérateurs de machinerie nous disent d'ailleurs que cette politique est déconnectée de la réalité et qu'elle a été faite par des gens dans des bureaux. Les délais ne fonctionnent pas, les zones prioritaires ne sont pas respectés, les bornes fontaines ne sont pas déneigées assez rapidement et j'en passe.
Je réclame une évaluation indépendante de cette politique et une évaluation de son application dans les différents arrondissement en plus des ajustements qui s'imposent.
lundi, février 11, 2008
Le site Web de la Ville de Québec
Comment trouvez-vous le site Web de la Ville: cliquez ici. J'aimerais avoir vos commentaires.
Ramenons les duchesses et les fanfares!
Samedi soir dernier, comme à chaque année, j'ai assisté au défilé du Carnaval à Charlesbourg. Mon impression et celle de mes enfants de 7 et 5 ans: décevant. Il manquait d'animation, de musique, d'acrobaties et d'ambiance en général. Nous étions un gros groupe avec beaucoup d'enfants et tout le monde a été déçu dans l'ensemble.
On a voulu innover, ce avec quoi je suis tout à fait d'accord. Par contre, il ne faut pas continuellement réinventer la roue et laisser tomber des choses qui fonctionnent bien. Depuis plusieurs années, ce que les gens semblaient apprécier le plus, c'étaient les troupes de musique, les fanfares, les spectacles de danse et de cheerleading. Cette année: plus rien. Il me semble que ça faisait une excellente transition entre les chars.
De plus, pourquoi ne pas ramener les duchesses... et des ducs par le fait même. Plus jeune, je me souviens que beaucoup de gens avaient un sentiment d'appartenance envers leur duché et voulaient que "leur duchesse" soit élue Reine du Carnaval. Une saine compétition existait entre les différents duchés et les citoyens suivaient avec intérêt le couronnement de la reine. Pourquoi ne pas ramener un duc et une duchesse par arrondissement. On créerait une certaine rivalité dans la ville et un sentiment d'appartenance à son arrondissement.
J'en parle avec des collègues et peut-être en fera-t-on un avis de proposition au prochain conseil de ville...
On a voulu innover, ce avec quoi je suis tout à fait d'accord. Par contre, il ne faut pas continuellement réinventer la roue et laisser tomber des choses qui fonctionnent bien. Depuis plusieurs années, ce que les gens semblaient apprécier le plus, c'étaient les troupes de musique, les fanfares, les spectacles de danse et de cheerleading. Cette année: plus rien. Il me semble que ça faisait une excellente transition entre les chars.
De plus, pourquoi ne pas ramener les duchesses... et des ducs par le fait même. Plus jeune, je me souviens que beaucoup de gens avaient un sentiment d'appartenance envers leur duché et voulaient que "leur duchesse" soit élue Reine du Carnaval. Une saine compétition existait entre les différents duchés et les citoyens suivaient avec intérêt le couronnement de la reine. Pourquoi ne pas ramener un duc et une duchesse par arrondissement. On créerait une certaine rivalité dans la ville et un sentiment d'appartenance à son arrondissement.
J'en parle avec des collègues et peut-être en fera-t-on un avis de proposition au prochain conseil de ville...
dimanche, février 10, 2008
Réforme de la carte électorale québécoise... et diminution du nombre de conseillers municipaux
Excellent reportage de Michel C. Auger et Françoise Letarte au Téléjournal de Radio-Canada jeudi soir à propos de la réforme de la carte électorale au Québec: cliquez ici
Au Québec, la carte électorale provinciale est remodelée toutes les deux élections. Les régions du Québec se dépeuplent, et leur poids est appelé à diminuer à l'Assemblée nationale. Le nombre d'électeurs dans chaque circonscription doit se situer à plus ou moins 25% de la moyenne provinciale, à l'exception des Iles-de-la-Madeleine qui ont une dérogation. On vise ainsi à ce que les votes de tous les citoyens du Québec aient sensiblement la même valeur.
Je ne peux m'empêcher de faire un lien avec l'objectif du maire Labeaume de diminuer le nombre de conseillers municipaux à Québec. À la base, je ne suis pas contre la réduction du nombre de conseillers. Par contre, monsieur Labeaume semble avoir une idée toute faite sur le nombre "idéal". Si on réduit le nombre de conseillers, il faut s'assurer qu'on ne créera pas le problème que le DGE tente de corriger au Québec...
Je m'explique: le maire a récemment mentionné qu'il ne voulait pas remodeler les arrondissements, sauf peut-être l'arrondissement Laurentien - cet arrondissement a perdu deux districts avec les défusions. On pourrait, théoriquement, se retrouver avec sept arrondissements. Par contre, faire disparaître un arrondissement n'est pas un exercice qu'il faut prendre à la légère. Ça implique de réorganiser les autres arrondissements, rédécouper la carte électorale, replacer les employés, etc. Le maire veut que tout soit régler pour le 1er juin. Est-ce réaliste? Je n'en suis pas certain.
Deuxième option, on ne touche pas au nombre d'arrondissements. À ma connaissance, actuellement, la loi précise qu'il doit y avoir un minimum de quatre conseillers par arrondissement. Donc on pourrait réduire le nombre à 32 conseillers, sauf que ça implique une certaine réorganisation des districts et un redécoupage important de la carte électorale. Par exemple, pour prendre mon arrondissement (les Rivières) il y aurait sans doute la possibilité de fusionner une partie de Vanier avec St-Sauveur; fusionner Duberger et Les Saules et envoyer la partie du Domaine de Duberger vers Vanier; redécouper Neufchatel et envoyer une partie dans le distric des Chatels en Haute-St-Charles... Faisable, mais assez complexe. En combien de temps? Bonne question! Et que restera-t-il des particularités locales et du sentiment d'appartenance que les citoyens entretiennent vis-à-vis leur district?
De plus, n'oublions pas que si on se retrouve avec 4 conseillers par arrondissement, tous les districts doivent respecter la règle du plus ou moins 15% (c'est 15% pour les districts de la ville de Québec>) de la moyenne de toute la ville. Petit calcul rapide: il y a près de 400 000 électeurs à Québec; on ramène ça à 32 districts, donc moyenne d'environ 12 500 par district. Avec la règle du 15%, on pourrait avoir quelque chose comme un maximum de 14 375 électeurs et un minimum de 10 625 électeurs par district. Si on regarde les chiffres actuels dans les différents districts, ça implique énormément de réorganisation. (Je fouille et ajoute des détails chiffrés dans les prochains jours.) Est-ce réaliste pour le 1er juin. J'en doute!
Conclusion: d'accord avec une réorganisaton, mais si on veut faire cet exercice, qu'on le fasse sérieusement. L'échéancier du 1er juin est à mon avis irréaliste. Qu'on enclenche un travail de redécoupage et une réorganisation complète de la carte électorale de la Ville de Québec de façon sérieuse et que l'exercice soit rigoureux. Visons plutôt le rendez-vous électoral de 2013...
Au Québec, la carte électorale provinciale est remodelée toutes les deux élections. Les régions du Québec se dépeuplent, et leur poids est appelé à diminuer à l'Assemblée nationale. Le nombre d'électeurs dans chaque circonscription doit se situer à plus ou moins 25% de la moyenne provinciale, à l'exception des Iles-de-la-Madeleine qui ont une dérogation. On vise ainsi à ce que les votes de tous les citoyens du Québec aient sensiblement la même valeur.
Je ne peux m'empêcher de faire un lien avec l'objectif du maire Labeaume de diminuer le nombre de conseillers municipaux à Québec. À la base, je ne suis pas contre la réduction du nombre de conseillers. Par contre, monsieur Labeaume semble avoir une idée toute faite sur le nombre "idéal". Si on réduit le nombre de conseillers, il faut s'assurer qu'on ne créera pas le problème que le DGE tente de corriger au Québec...
Je m'explique: le maire a récemment mentionné qu'il ne voulait pas remodeler les arrondissements, sauf peut-être l'arrondissement Laurentien - cet arrondissement a perdu deux districts avec les défusions. On pourrait, théoriquement, se retrouver avec sept arrondissements. Par contre, faire disparaître un arrondissement n'est pas un exercice qu'il faut prendre à la légère. Ça implique de réorganiser les autres arrondissements, rédécouper la carte électorale, replacer les employés, etc. Le maire veut que tout soit régler pour le 1er juin. Est-ce réaliste? Je n'en suis pas certain.
Deuxième option, on ne touche pas au nombre d'arrondissements. À ma connaissance, actuellement, la loi précise qu'il doit y avoir un minimum de quatre conseillers par arrondissement. Donc on pourrait réduire le nombre à 32 conseillers, sauf que ça implique une certaine réorganisation des districts et un redécoupage important de la carte électorale. Par exemple, pour prendre mon arrondissement (les Rivières) il y aurait sans doute la possibilité de fusionner une partie de Vanier avec St-Sauveur; fusionner Duberger et Les Saules et envoyer la partie du Domaine de Duberger vers Vanier; redécouper Neufchatel et envoyer une partie dans le distric des Chatels en Haute-St-Charles... Faisable, mais assez complexe. En combien de temps? Bonne question! Et que restera-t-il des particularités locales et du sentiment d'appartenance que les citoyens entretiennent vis-à-vis leur district?
De plus, n'oublions pas que si on se retrouve avec 4 conseillers par arrondissement, tous les districts doivent respecter la règle du plus ou moins 15% (c'est 15% pour les districts de la ville de Québec>) de la moyenne de toute la ville. Petit calcul rapide: il y a près de 400 000 électeurs à Québec; on ramène ça à 32 districts, donc moyenne d'environ 12 500 par district. Avec la règle du 15%, on pourrait avoir quelque chose comme un maximum de 14 375 électeurs et un minimum de 10 625 électeurs par district. Si on regarde les chiffres actuels dans les différents districts, ça implique énormément de réorganisation. (Je fouille et ajoute des détails chiffrés dans les prochains jours.) Est-ce réaliste pour le 1er juin. J'en doute!
Conclusion: d'accord avec une réorganisaton, mais si on veut faire cet exercice, qu'on le fasse sérieusement. L'échéancier du 1er juin est à mon avis irréaliste. Qu'on enclenche un travail de redécoupage et une réorganisation complète de la carte électorale de la Ville de Québec de façon sérieuse et que l'exercice soit rigoureux. Visons plutôt le rendez-vous électoral de 2013...
vendredi, février 08, 2008
Mon indépendance...
Le 12 décembre 2007, j'annonçais que je quittais l'Action civique de Québec pour siéger comme indépendant. Voici la lettre ouverte que j'ai envoyée aux médias:
______________
Patrick Huot quitte l’ACQ
Aujourd’hui, je m’adresse aux citoyens de Québec et plus particulièrement à ceux que je représente dans le district de Duberger.
Au cours des derniers jours, j’ai eu à prendre une décision importante : celle de quitter l’Action civique de Québec (ACQ). Un parti auquel je me suis associé avec fierté pour la campagne électorale de 2005 et qui a porté au pouvoir six des trente-sept conseillers qui forment actuellement le conseil municipal de la Ville de Québec.
Une formation politique avec un chef qui, à l’origine, m’a convaincu de faire le saut en politique active afin de servir les intérêts des citoyens de Duberger. Enfin, un parti auquel j’ai cru et pour lequel je me suis entièrement dévoué au cours des deux dernières années.
Par conséquent, la décision que je prends de quitter l’ACQ ne se fait pas sans déchirement, bien au contraire. Elle est le fruit d’une réflexion difficile qui s’est amorcée il y a maintenant plus d’un an.
En effet, comme formation politique, nous avons eu à évoluer dans un contexte particulier. Deux conseillers sur six ayant été nommés sur l’exécutif de madame Boucher en 2005, il est devenu quasi impossible pour l’ACQ de faire la promotion d’opinions qui n’étaient pas celles de l’administration en place.
Cette situation a en quelque sorte paralysé l’émergence d’idées nouvelles au sein de notre formation politique ne laissant guère d’espace au désir que chacun pouvait avoir de proposer des solutions concrètes ou de remettre en cause des décisions prises au conseil municipal. Peu à peu, ce contexte est devenu contraignant et la collaboration plus ardue.
Aujourd’hui, malgré les récents changements liés à l’élection d’un nouveau maire et malgré le fait que l’ACQ ne soit plus représentée sur le comité exécutif, je constate malheureusement que l’enthousiasme que nous avions au départ s’est dissipé et qu’il ne subsiste plus de réelle volonté de changement au sein du parti. Certains semblent avoir envie de poursuivre, d’autres ne sont pas en mesure de confirmer s’ils seront toujours de la formation pour l’élection de 2009. De mon côté, j’entends poursuivre le travail amorcé il y a maintenant deux ans afin de moderniser la ville et de relever les nombreux défis auxquels nous faisons face.
Je veux aussi consacrer mon énergie à construire la ville et continuer à proposer des pistes de solutions afin de promouvoir les idées qui me sont chères et que les citoyens de Duberger m’ont mandaté de faire valoir.
J’en conclus que le véhicule que j’ai choisi au départ, c’est-à-dire l’Action civique de Québec, ne colle tout simplement plus à ma réalité. Ainsi, dans le but d’exercer davantage de leadership et de mieux servir les intérêts des citoyens de Duberger, je deviens conseiller indépendant.
En terminant, je tiens à souligner l’excellent travail et le dévouement de tous ceux et celles de l’Action civique de Québec que j’ai côtoyés au cours des deux dernières années et je tiens à leur transmettre mes remerciements les plus sincères.
Patrick Huot
Conseiller municipal indépendant
District de Duberger
______________
Patrick Huot quitte l’ACQ
Aujourd’hui, je m’adresse aux citoyens de Québec et plus particulièrement à ceux que je représente dans le district de Duberger.
Au cours des derniers jours, j’ai eu à prendre une décision importante : celle de quitter l’Action civique de Québec (ACQ). Un parti auquel je me suis associé avec fierté pour la campagne électorale de 2005 et qui a porté au pouvoir six des trente-sept conseillers qui forment actuellement le conseil municipal de la Ville de Québec.
Une formation politique avec un chef qui, à l’origine, m’a convaincu de faire le saut en politique active afin de servir les intérêts des citoyens de Duberger. Enfin, un parti auquel j’ai cru et pour lequel je me suis entièrement dévoué au cours des deux dernières années.
Par conséquent, la décision que je prends de quitter l’ACQ ne se fait pas sans déchirement, bien au contraire. Elle est le fruit d’une réflexion difficile qui s’est amorcée il y a maintenant plus d’un an.
En effet, comme formation politique, nous avons eu à évoluer dans un contexte particulier. Deux conseillers sur six ayant été nommés sur l’exécutif de madame Boucher en 2005, il est devenu quasi impossible pour l’ACQ de faire la promotion d’opinions qui n’étaient pas celles de l’administration en place.
Cette situation a en quelque sorte paralysé l’émergence d’idées nouvelles au sein de notre formation politique ne laissant guère d’espace au désir que chacun pouvait avoir de proposer des solutions concrètes ou de remettre en cause des décisions prises au conseil municipal. Peu à peu, ce contexte est devenu contraignant et la collaboration plus ardue.
Aujourd’hui, malgré les récents changements liés à l’élection d’un nouveau maire et malgré le fait que l’ACQ ne soit plus représentée sur le comité exécutif, je constate malheureusement que l’enthousiasme que nous avions au départ s’est dissipé et qu’il ne subsiste plus de réelle volonté de changement au sein du parti. Certains semblent avoir envie de poursuivre, d’autres ne sont pas en mesure de confirmer s’ils seront toujours de la formation pour l’élection de 2009. De mon côté, j’entends poursuivre le travail amorcé il y a maintenant deux ans afin de moderniser la ville et de relever les nombreux défis auxquels nous faisons face.
Je veux aussi consacrer mon énergie à construire la ville et continuer à proposer des pistes de solutions afin de promouvoir les idées qui me sont chères et que les citoyens de Duberger m’ont mandaté de faire valoir.
J’en conclus que le véhicule que j’ai choisi au départ, c’est-à-dire l’Action civique de Québec, ne colle tout simplement plus à ma réalité. Ainsi, dans le but d’exercer davantage de leadership et de mieux servir les intérêts des citoyens de Duberger, je deviens conseiller indépendant.
En terminant, je tiens à souligner l’excellent travail et le dévouement de tous ceux et celles de l’Action civique de Québec que j’ai côtoyés au cours des deux dernières années et je tiens à leur transmettre mes remerciements les plus sincères.
Patrick Huot
Conseiller municipal indépendant
District de Duberger
mercredi, février 06, 2008
Retour dans la blogosphère... parlons déneigement!
Ça fait plusieurs mois que j'ai quitté l'univers des blogues, mais je compte bien revenir. Au cours des prochaines semaines, j'ai l'intention de commenter l'actualité de façon régulière...
Comme première, voici un communiqué que j'ai émis aujourd'hui:
Déneigement dans les quartiers résidentiels
Les zones scolaires doivent être dégagées plus rapidement
Québec, le 6 février 2008 – Lors du dernier conseil municipal, le conseiller de Duberger, monsieur Patrick Huot, a questionné l’administration quant aux priorités qui étaient accordées à certaines artères lors des opérations de déneigement.
« La nouvelle politique de déneigement a clairement identifié des secteurs qui doivent être dégagés prioritairement. C’est le cas notamment des zones scolaires où l’on retrouve plusieurs enfants qui se déplacent à pied parmi les autobus scolaires et de nombreux véhicules. À mon sens, il est anormal que ces zones ne soient pas déneigées avant plusieurs jours. Il faut que les rues qui entourent les écoles soient dégagées en priorité, il en va de la sécurité des enfants de notre quartier », a déclaré Patrick Huot.
De plus, il est clairement prévu dans la nouvelle politique de déneigement que les rues dans lesquelles circulent les autobus du Réseau de transport de la capitale (RTC) soient dégagées rapidement afin de faciliter le transport des usagers. « Les artères empruntées par les autobus sont souvent celles utilisées par un grand nombre de véhicules. Je trouve inadmissible de voir que des autobus ont de la difficulté à se frayer un chemin dans certaines rues alors que les artères d’autres quartiers résidentiels sont complètement dégagées », a ajouté le conseiller de Duberger.
Par ailleurs, monsieur Huot s’interroge sur la qualité des services offerts aux citoyens qui sont en droit de s’attendre à ce que la neige de leur rue soit ramassée à partir du moment où l’espace de stockage sur les terrains résidentiels n’est plus suffisant.
« Déjà, les citoyens de Duberger ont subi une diminution de services avec l’adoption de cette politique de déneigement. Il faut éviter à tout prix que la qualité des services continue à diminuer. J’entends donc poursuivre mes démarches auprès de l’administration afin qu’ils aient au moins accès aux services de déneigement auquel ils ont droit », a conclu le conseiller.
Comme première, voici un communiqué que j'ai émis aujourd'hui:
Déneigement dans les quartiers résidentiels
Les zones scolaires doivent être dégagées plus rapidement
Québec, le 6 février 2008 – Lors du dernier conseil municipal, le conseiller de Duberger, monsieur Patrick Huot, a questionné l’administration quant aux priorités qui étaient accordées à certaines artères lors des opérations de déneigement.
« La nouvelle politique de déneigement a clairement identifié des secteurs qui doivent être dégagés prioritairement. C’est le cas notamment des zones scolaires où l’on retrouve plusieurs enfants qui se déplacent à pied parmi les autobus scolaires et de nombreux véhicules. À mon sens, il est anormal que ces zones ne soient pas déneigées avant plusieurs jours. Il faut que les rues qui entourent les écoles soient dégagées en priorité, il en va de la sécurité des enfants de notre quartier », a déclaré Patrick Huot.
De plus, il est clairement prévu dans la nouvelle politique de déneigement que les rues dans lesquelles circulent les autobus du Réseau de transport de la capitale (RTC) soient dégagées rapidement afin de faciliter le transport des usagers. « Les artères empruntées par les autobus sont souvent celles utilisées par un grand nombre de véhicules. Je trouve inadmissible de voir que des autobus ont de la difficulté à se frayer un chemin dans certaines rues alors que les artères d’autres quartiers résidentiels sont complètement dégagées », a ajouté le conseiller de Duberger.
Par ailleurs, monsieur Huot s’interroge sur la qualité des services offerts aux citoyens qui sont en droit de s’attendre à ce que la neige de leur rue soit ramassée à partir du moment où l’espace de stockage sur les terrains résidentiels n’est plus suffisant.
« Déjà, les citoyens de Duberger ont subi une diminution de services avec l’adoption de cette politique de déneigement. Il faut éviter à tout prix que la qualité des services continue à diminuer. J’entends donc poursuivre mes démarches auprès de l’administration afin qu’ils aient au moins accès aux services de déneigement auquel ils ont droit », a conclu le conseiller.
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