- le déneigement;
- le compte de taxes;
- la diminution du nombre de conseillers municipaux;
- la réorganisation de la ville;
- le carnaval;
- le 400e;
- etc.
Mon sujet, en plus du déneigement: les TIT et le site Web de la ville. Ça fait deux ans qu'on nous promet un nouveau site Web et il ne passe rien. À mon avis, le site actuel est horrible et c'est un fouillis total. N'oublions pas que le site Web d'une ville, c'est son image. Le nouveau maire veut donner l'image d'une ville moderne, une ville du XXIe siècle. Actuellement, des villes comme Plessisville et Saint-Gédéon de Grandmont ont une image (site Web) plus moderne que Québec!
6 commentaires:
Bonjour M. Huot,
Je suis un citoyen de Québec et je vous ai entendu ce matin en entrevue au FM 93 à 7h45. J'aimerais bien que les autres élus du conseil municipal s'intéressent comme vous, à des sujets qui nous préoccupent nous, les payeurs de taxes. Je partage d'ailleurs vos préoccupations sur les frais de taxi des fonctionnaires et je souhaite moi-aussi savoir s'ils sont justifiés. C'est vrai qu'il faut s'assurer qu'il n'y ait pas de dépenses abusives dans la fonction publique. Continuez votre bon travail. Vous aidez à redorer l'image qu'on a des politiciens.
Simon B.
Je félicite Monsieur Huot d'être le premier conseiller à ouvrir la bouche au conseil pour soulever un problème de dépenses douteuses: les voyages nombreux en taxi. Il me fait penser à mes nombreuses interventions sur les dépenses de la Ville.
Par contre, je n'ai jamais eu connaissance que le comité des finances de la ville ait fait consciencieusement son travail. À ce que je sache, il ne s'est même pas réuni en 2006 de quoi laisser les fonctionnaires dépenser comme larrons en foire et créer un déficit de 12 millions. D'ailleurs, je m'interroge grandement sur la délégation de pouvoir des cadres leur permettant de dépenser jusqu'à 100,000$ sans avoir d'autorisation préalable du conseil. C'est une façon des administrateurs municipaux de cacher aux yeux des élus des opérations comme celle des changements des noms de rue qui leur a permis d'acheter pour 255,000$ de fournitures sans passer par le conseil. Résultat l'élection 2005 n'en a pas parlé et une semaine après l'élection de Mme Boucher, apparaissaient mystérieusement les panneaux indicatifs installés par les cols bleus. Le contrôle du conseil d'arrondissement serait bénéfique pour empêcher que les fonctionnaires agissent contre la volonté populaire.
LA RÉFORME DE LA STRUCTURE ET LE NOMBRE D'ÉLUS
La structure que j'ai préconisé pour la refonte du nombre d'élus permet aux élus de surveiller plus à fond les dépenses et représenter adéquatement leurs citoyens sans avoir un comité de quartier pour savoir ce qui se passe dans son quartier.
Je rappelle que je préconise 6 arrondissements du gabarit de Charlesbourg ou Beauport. Avoir un président ou maire d'arrondissement élu au suffrage universel de l'arrondissement. 10 conseillers d'arrondissement dont un sera délégué au conseil de ville et de donner tous les pouvoirs de proximité aux arrondissements. Actuellement ce sont des coquilles vides. C'est là que les conseillers seraient utiles et pourraient rencontrer les directeurs de service avec leurs commettants comme avant. C'est la seule façon que les problèmes ne deviennent trop gros à régler. Naturellement les conseillers seraient rétribués moins cher...
Je préconise 13 membre au Conseil de Ville soit : le maire, les 6 maires ou présidents d'arrondissement et les 6 délégués d'arrondissement. Dans ces délégués, on pourrait leur ajouter des responsabilité comme les fonctions de président du RTC, de président d'Expo-Cité, de président de l'OMH, etc...
On aurait plus besoin de comité exécutif avec si peu de membres au Conseil de Ville.
Oui, il y a des économies à faire avec cette proposition.
Encore une fois, félicitations de plus en plus je redécouvre le goût d'être conseiller en vous regardant aller.
Une pensée profonde est écrite dans le journal ensoleillé aujourd'hui. Elle vient du député de Beauce-Nord, M. Janvier Grondin. Je la dédie au maire Labeaume et aux élus municipaux dans leur effort de réflexion pour réduire le nombre des conseillers ou pour leur comité sur le déneigement...
«À 80% de mon travail, comme député, est de démêler le monde dans la réglementation qui existe. On a enlevé nos libertés et on essaie d'encadrer le monde.»
Que de pensées profondes pour le comité sur le déneigement.
Quant au nombre de conseilers, eux aussi doivent dépenser beaucoup de temps pour aider les citoyens à se retrouver dans cette forêt de réglementations harmonisées ou pas.
@Roméo
Votre commentaire est tellement pertinent. Quand je me fais demander quel est le rôle d'un conseiller municipal, je réponds que son rôle, c'est d'être disponible pour les citoyens et les aider à se démêler dans le monstre qu'est devenu dans la ville. C'est ce que je fais régulièrement d'ailleurs et je crois que c'est apprécié...
Monsieur Huot, C'est l'expérience qui parle. Moi aussi, j'ai eu à accompagner des citoyens dans leur démarche dans cette forêt de réglements alambiqués où personne ne s'y retrouve car le GBS est parti avec nos libertés que les fonctionnairers tentent d,encadrer dans des harmionisations "at large" qui laissent en plan nos citoyens...
Voici quelques extraits qui interpellent les élus dans leur réflexion sur le rôle des arrondissements.
1) Extrait d'un discours de Mme Harel deu 26 janvier 2000 prononcé devant la Chambre de commerce et d'industrie de l'Est de l'île de Montréal.
UNE VILLE FORTE DECENTRALISEE
"Ce concept d'arrondissement permet de concilier la nécessité de créer
une ville plus forte et le désir légitime des citoyennes et citoyens de
conserver tout près de chez eux une entité pour laquelle ils ont développé un
sentiment d'appartenance et qui paraît mieux à même d'offrir les services dont
ils ont besoin", a-t-elle précisé.
Selon la ministre, les arrondissements constituent beaucoup plus que de simples divisions administratives de la nouvelle ville. Ils sont une instance démocratique de représentation des citoyens. Ils sont les lieux privilégiés de prestation des services de proximité. Les citoyens de la nouvelle ville auront donc prise sur les décisions qui les affectent le plus dans leur quotidien.
La ministre a rappelé que chaque arrondissement sera doté d'un conseil d'arrondissement formé d'élus siégeant en public et ayant les pouvoirs d'une municipalité locale dans les limites de ses compétences, à l'exception du
pouvoir d'emprunter et de celui d'imposer des taxes.
Le conseil d'arrondissement pourra formuler des avis et des recommandations sur le budget et l'établissement des priorités budgétaires, sur la préparation ou la modification du plan d'urbanisme, sur les amendements
de zonage ou sur toute autre question que lui soumettra le conseil de la ville.
Il aura à gérer son propre budget et sera appelé à prendre des décisions dans plusieurs domaines, notamment l'urbanisme, la conversion d'un immeuble en
copropriété divise, la prévention des incendies, l'enlèvement des matières résiduelles, le développement économique local, communautaire et social et la
voirie locale.
Les arrondissements disposeront de la souplesse nécessaire pour ajuster l'offre de services aux attentes des citoyens. Ils auront la responsabilité de la gestion quotidienne du travail de leur personnel, y compris les horaires de travail, et ils pourront proposer au conseil municipal de bonifier certains services en contrepartie de l'imposition d'une taxe de secteur.
Dans chaque arrondissement, il y aura un centre de services, donnant
accès à toute l'information municipale et aux services courants (demandes et émission de permis, plaintes, etc.).
2) Et un autre extrait du plaidoyer de Louis Bernard devant la commission parlementaire sur la loi 9.
Traditionnellement, municipalité égale services de proximité. Quand un citoyen pense à sa municipalité, il pense au déneigement, à l'enlèvement des ordures, aux loisirs, à la bibliothèque, etc. C'est son univers et c'est l'univers des municipalités pour l'immense majorité des municipalités, des quelque 1 100 municipalités du Québec.
Donc, comment en même temps faire une plus grande ville pour être en mesure de mieux donner des services communs de façon plus démocratique, avoir des fonctions stratégiques qui soient plus importantes et, en même temps, préserver la capacité de donner des services de proximité aux gens, qui répondent à leurs besoins?
Alors, c'est là que l'idée d'arrondissements, dans nos travaux – on est pas partis avec cette idée-là, c'est une idée qui est venue de la discussion – l'idée d'arrondissements a commencé à faire son chemin. Puis on l'a creusée et, finalement, moi, dans mon rapport, j'ai recommandé que l'on structure les services de proximité suivant des arrondissements vraiment autonomes. Et puis je dis «malheureusement», mais ça n'a pas été accepté par
les villes de banlieue et, par conséquent, le gouvernement n'a pas pu... n'a pas choisi de suivre cette voie-là.
Deux textes qui portent à réfléchir dans le cadre d'une rstructuration de la Ville amorcé par le Maire labeaume.
Quant à moi, il faut redonner aux arrondissements leur ^puvoir d'agir et ca prend plus d'élus à ce niveau. Mais on ne doit pas envoyer siéger tous les élus à la table du Conseil de Ville. On doit plutôt procéder par délégation d'un conseiller et du Maire ou Président de l'arrondissment.
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